Actuellement, on voit les médecins, les chirurgiens, les biologistes, les radiologues, les vétérinaires collaborer pour améliorer la qualité de la prise en charge, l’efficience du système, la qualité du regard de la société sur cette pathologie.
Nous avons tout à apprendre de l’autre et il est temps de sortir de nos services, de nos pôles, de nos blocs opératoires de nos laboratoires pour se frotter aux autres spécialités et collaborer pour améliorer la qualité de la prise en charge.
Au sein de ce bouleversement, le mode de communication joue un rôle central et la recherche y a une place prépondérante.